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Silent Genocide

   En 1982, la République populaire de Chine a adopté une loi, connue sous le nom de «règle de l'enfant unique». Afin d'endiguer la croissance rapide et insoutenable de la population chinoise. Cette loi interdit aux femmes de porter plus qu'un enfant.  Cette loi a non seulement eu un impact dramatique sur la vie des femmes chinoises, mais a également affecté les populations indigènes tibétaines et mongoles. Bien que l'on ait autorisé 2 enfants par famille, des traitements et de la propagande ont été déployés pour les encourager à en avoir un seul, indépendamment de leurs croyances religieuses et de leurs traditions.

Je me suis rendue à Dharamsala, en Inde, pour rencontrer et interviewer des femmes tibétaines qui m'ont informée des problèmes liés à la procédure et au suivi des opérations de stérilisation, telles que la mini-Laparotomie ou l'insertion et l'enlèvement des DIU. De nombreuses occasions ont été rapportées de femmes souffrant de saignements internes et de mourir après de telles procédures; souvent en raison de la distance extrême de leur domicile aux installations cliniques les plus proches. En plus de recueillir des expériences de femmes, J'ai interviewé un gynécologue professionnel, qui avait retiré certains des soi-disant «bagues chinoises» et remis en question le risque d'exposition à long terme au DIU.

   In 1982, the Peopleʼs Republic of China passed a law, known as ʻthe one child ruleʼ. As a way to stem the rapid, unsustainable growth of Chinaʼs population, this law made it illegal for women to bear more than child. This law not only had a dramatic impact on the lives on Chinese women but also affected the Tibetan and Mongolian indigenous populations. Although allowed 2 children per family, treatments and propaganda were rolled out to encourage them to have only one, regardless of their religious believe and traditions.

I travelled to Dharamsala, India, to meet and interview Tibetan women who informed her of problems regarding the procedure and aftercare of sterilisation operations, such as mini- Laparotomy or the insertion and removal of IUDs (coil). Many occasions were reported of women suffering from internal bleeding and dying after such procedures; often due to the extreme distance from their home to the nearest clinical facilities. As well as gathering experiences from women first hand, I interviewed a professional gynaecologist, who had removed some of the so called ʻChinese ringsʼ and questioned the risk of long term exposure to the IUD.

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